Salut mes nouveaux copains ! Comment allez-vous ? Hm, pas très bavard tout ça. Enfin, moi je suis Daniel Blackmore mais mes amis m'appelle Dan, Danny. Je suis né(e) le 5 Octobre 1977 et pour ceux qui ont compté, c'est-à-dire personne, j'ai 37 ans. Pour les intéressés, je suis ex-caporal de l'armée britannique et pour les encore plus intéressés je suis divorcé.
CARACTERE.
Comment ça va dans la tête ?
Daniel est un homme discipliné de par son passé de militaire. Il est ordonné et ne laisse jamais de traces ou d'affaires traîner. Il est quelqu'un de courageux, Parfois un peu inconscient, tenace, mais aussi très borné, quand il a une idée quelque part, il ne l'a pas ailleurs. Il n'est pas très bavard, ni très social, il aime bien être seul, dans le manoir d'Alexander à s'occuper de quelques affaires courantes. C'est un homme gentil, attentionné, mais quelque peu très impulsif. Il est loyal envers Alexander et sincère, de temps en temps un peu cash, il dit ce qu'il pense sans fioritures. De l'autre côté, c'est un homme tourmenté et sombre, qui ne s'est pas remis de sa dernière mission en Bosnie et le divorce avec sa femme Bettie. C'est quelqu'un qui peut être très lunatique, mais aussi infiniment triste et nostalgique. Evitez de lui parler du Vieux Continent, notamment de sa vie à Londres dans un hôpital militaire.
HISTOIRE.
Parles, je t'écouterai mon petit canard.
Ma vie n'a rien de très palpitant... Je suis né à Londres et j'ai perdu ma mère tôt. C'est mon père qui nous a élevés. Contre son gré, j'ai suivi une formation militaire et je rejoins l'armée britannique... Je me suis marié à 22 ans et j'ai eu deux filles merveilleuses... Ma carrière se passait bien, ma vie personnelle aussi et une rencontre des plus déplaisantes m'a transformé en Lycan... J'ignore qui m'a engendré... Mes sens en furent décuplés et mes performances physiques aussi, mais je vivais l'enfer pendant les pleines lunes... Mais j'arrivais à vivre ainsi...
Mais une autre tragédie vient chambouler ma petite vie tranquille. J'ai été assigné à une mission d'évacuation et de protection en Bosnie à la fin des années 90. Je n'aurai jamais dû m'y rendre... La mission s'est mal passée, on s'est fait attaquer alors qu'on tentait d'évacuer un village pris dans une guerre civile. Il y avait des hélicoptères et des mines partout... Et c'est là que je l'ai vu... La vieille femme, elle portait un petit bébé dans ses bras, enfin au départ, j'ai cru, moi et d'autres soldats qu'elle portait une bombe... On a voulu faire feu vers le ciel dans le but de la mettre en garde et je me souviens avoir hurlé "MINES!!!" mais trop tard la Grand-mère sauta sur la mine et eut ses jambes arrachées. Le bébé est mort sur le coup... La vieille femme, me désignant responsable et me maudit... Houssout... Depuis lors en plus de ma monstruosité les soirs de pleines lunes, je suis capable d'avoir des visions... Enfin au départ, j'avais des visions de ma propre mort...
Ma vie est tombée en lambeaux à mon retour... Ma femme m'a quitté et elle a demandé le divorce, deux ans après mon internement dans un hôpital militaire aux Etats Unis, refusant de rester à Londres ou dans ses environs, souffrant d'un "délire post-traumatique. Je me suis enfui et par hasard ou non, je me suis rendue à l'endroit où ma mort devait avoir lieu. Une grande étendue de pelouse et d'herbes folles avec des planches qui protégeaient les gens des chutes dans des anciens puits...
Déboussolé par les visions d'horreur en Bosnie, j'ai glissé sur une planche humide je me suis cognée la tête contre le bois et j'ai commencé à tomber dans le puits. J'ai senti une main qui me retint et j'ouvris les yeux, un homme m'empêchait de tomber en me retenant avec une étrange facilité. Il semblait d'un autre temps et surtout pas humain. Il me remonta avec la même facilité. J'ai compris que la malédiction sur moi était finie, que ma mort avait été déboutée. Rien qu'en regardant l'homme qui venait de me sauver, j'ai compris que peut-être que j'avais encore des choses à accomplir sur cette planète...
Il s'appelait Alexander Grayson... Nous avons longuement discuté autour d'une énorme cafetière chez lui. Il a décrété que je ne devais pas retourner "dans ma geôle" et qu'il acceptait de m'aider à condition que j'accepte de devenir son homme de main... J'ai d'abord refusé d'y croire, mais il insista de telle sorte que refuser aurait été un manque de respect...
Après quelques temps, je me suis rendu compte que je ne craignais plus la pleine lune et que cette malédiction de la Bosniaque m'avait permis de pouvoir me transformer à ma guise. Mais comme dans tout il y a une contrepartie... Mes visions sont devenus plus violentes et plus fréquentes, si bien qu'elles me fassent parfois perdre connaissance... Mais elles ne me concernaient plus...
Les années sont passées et avec Alexander nous nous entendons parfaitement, je lui suis entièrement loyal et tantôt confident et conseiller, tantôt ami, nous avons une relation professionnelle qui est très informelle, changeant beaucoup de la relation qu'il avait Renfield, l'homme de confiance qu'il avait au tournant du siècle... Mais parfois, de mon côté, je le vois un peu comme un grand-frère...
L'arrivée de Luna au manoir, la directrice du NCIS et protégée d'Alexander, a sonné un changement radical du comportement de mon employeur... Peut-être que cette femme va être en mesure de le sortir de sa coquille et enfin connaître le bonheur ?
DERRIERE L'ECRAN.
Maintenant que je te connais, je veux plus te connaitre.
C'est quoi ton p'tit nom ? DC Luna Callingan Ton âge ? Ici. Ton avis sur le fofo' ? Ici.. Code du règlement, ou pas ? Ici.
¤ Âge : ¤ Nationalité : ¤ Lieu de Résidence : ¤ Etudes/Métier :
Mon Histoire...
Quid enim tam absurdum quam delectari multis inanimis rebus, ut honore, ut gloria, ut aedificio, ut vestitu cultuque corporis, animante virtute praedito, eo qui vel amare vel, ut ita dicam, redamare possit, non admodum delectari? Nihil est enim remuneratione benevolentiae, nihil vicissitudine studiorum officiorumque iucundius. Advenit post multos Scudilo Scutariorum tribunus velamento subagrestis ingenii persuasionis opifex callidus. qui eum adulabili sermone seriis admixto solus omnium proficisci pellexit vultu adsimulato saepius replicando quod flagrantibus votis eum videre frater cuperet patruelis, siquid per inprudentiam gestum est remissurus ut mitis et clemens, participemque eum suae maiestatis adscisceret, futurum laborum quoque socium, quos Arctoae provinciae diu fessae poscebant. Tu autem, Fanni, quod mihi tantum tribui dicis quantum ego nec adgnosco nec postulo, facis amice; sed, ut mihi videris, non recte iudicas de Catone; aut enim nemo, quod quidem magis credo, aut si quisquam, ille sapiens fuit. Quo modo, ut alia omittam, mortem filii tulit! memineram Paulum, videram Galum, sed hi in pueris, Cato in perfecto et spectato viro.
Mon Caractère
Quid enim tam absurdum quam delectari multis inanimis rebus, ut honore, ut gloria, ut aedificio, ut vestitu cultuque corporis, animante virtute praedito, eo qui vel amare vel, ut ita dicam, redamare possit, non admodum delectari? Nihil est enim remuneratione benevolentiae, nihil vicissitudine studiorum officiorumque iucundius. Advenit post multos Scudilo Scutariorum tribunus velamento subagrestis ingenii persuasionis opifex callidus. qui eum adulabili sermone seriis admixto solus omnium proficisci pellexit vultu adsimulato saepius replicando quod flagrantibus votis eum videre frater cuperet patruelis, siquid per inprudentiam gestum est remissurus ut mitis et clemens, participemque eum suae maiestatis adscisceret, futurum laborum quoque socium, quos Arctoae provinciae diu fessae poscebant. Tu autem, Fanni, quod mihi tantum tribui dicis quantum ego nec adgnosco nec postulo, facis amice; sed, ut mihi videris, non recte iudicas de Catone; aut enim nemo, quod quidem magis credo, aut si quisquam, ille sapiens fuit. Quo modo, ut alia omittam, mortem filii tulit! memineram Paulum, videram Galum, sed hi in pueris, Cato in perfecto et spectato viro.
Un Test RP...
Un Titre
Quid enim tam absurdum quam delectari multis inanimis rebus, ut honore, ut gloria, ut aedificio, ut vestitu cultuque corporis, animante virtute praedito, eo qui vel amare vel, ut ita dicam, redamare possit, non admodum delectari? Nihil est enim remuneratione benevolentiae, nihil vicissitudine studiorum officiorumque iucundius. Advenit post multos Scudilo Scutariorum tribunus velamento subagrestis ingenii persuasionis opifex callidus. qui eum adulabili sermone seriis admixto solus omnium proficisci pellexit vultu adsimulato saepius replicando quod flagrantibus votis eum videre frater cuperet patruelis, siquid per inprudentiam gestum est remissurus ut mitis et clemens, participemque eum suae maiestatis adscisceret, futurum laborum quoque socium, quos Arctoae provinciae diu fessae poscebant. Tu autem, Fanni, quod mihi tantum tribui dicis quantum ego nec adgnosco nec postulo, facis amice; sed, ut mihi videris, non recte iudicas de Catone; aut enim nemo, quod quidem magis credo, aut si quisquam, ille sapiens fuit. Quo modo, ut alia omittam, mortem filii tulit! memineram Paulum, videram Galum, sed hi in pueris, Cato in perfecto et spectato viro.
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